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Ruma, veuve et mère célibataire d'une petite ville du sud du Bangladesh, a été victime de harcèlement social après la mort de son mari, ce qui l'a obligée à émigrer. Grâce à un mariage arrangé de complaisance, elle est arrivée en Italie. Malgré ses tentatives de réussite en Italie, elle a décidé de rentrer au Bangladesh, où elle a appris l'existence du projet Prottasha de l'OIM. L'équipe lui a apporté une éducation financière et un soutien en nature. Elle a enfin pu subvenir aux besoins de son fils, qui poursuit actuellement ses études.

Financé par l'Union européenne, le projet Prottasha a contribué à la réintégration durable des migrants de retour au Bangladesh et à la réalisation progressive de l'objectif de développement durable 10.7 visant à faciliter la migration et la mobilité ordonnées, sûres, régulières et responsables d

Le voyage de Kharkiv à Budapest a été long et difficile pour Sasha, 14 ans, et sa famille. Ce nageur passionné, qui s'entraînait sans interruption depuis neuf ans en vue des Jeux olympiques, a vu ses projets - comme ceux de tant d'autres - anéantis par la guerre. L' a aidé Sasha et sa famille dans leur périple vers la Hongrie.

En février, des séismes ont frappé le sud-est de la Türkiye et la Syrie voisine, rasant des villes, détruisant des milliers de maisons et d'entreprises et déplaçant des millions de personnes.

En Thaïlande, l'OIM organise régulièrement des activités dans les foyers accueillant des enfants rohingyas, afin d'améliorer leur bien-être mental et de leur offrir un espace d'expression sûr.

Souvent, les processus de réintégration impliquent des enfants, qu'ils soient accompagnés, non accompagnés ou séparés. Étant plus vulnérables que les adultes, ils ont des besoins plus importants et nécessitent des considérations spécifiques, à la fois dans l'immédiat et à long terme. 

Operação Acolhida, ou l’« Opération bienvenue », constitue la réponse humanitaire et l'accueil fournis par le gouvernement fédéral brésilien à Roraima, l'un des États les moins développés et les moins peuplés du Brésil, en réponse à un afflux historique de migrants et

Jusqu'en 2020, la vie semblait bien réglée pour Leonardo, sa femme et leurs sept enfants, qui vivaient paisiblement dans le district de Muidumbe, au Mozambique. Mais en octobre 2020, le risque imminent d'une attaque a forcé les familles et les voisins à fuir soudainement.

Hicham, son épouse Naima et leurs deux filles Sara et Imane sont rentrés de Tunisie au Maroc avec l'aide de l'OIM dans le cadre de l'Initiative conjointe UE-OIM pour la protection et la réintégration des migrants.

Muhammad Kasim, sa femme et son fils aîné réparent les filets de pêche endommagés lors des récentes inondations. « Nous venons d'une famille de pêcheurs. Nous avons la pêche dans le sang - c'est mon insigne d'honneur. C'est également notre seule source de revenus », déclare Kasim. Le métier qu'il a exercé toute sa vie et la source de revenus de sa famille sont désormais menacés jusqu'à ce que les eaux se retirent et que l'équilibre écologique soit rétabli. Les revenus de la pêche dépendent fortement de la saison. Comme les inondations ont frappé pendant la haute saison de pêche, les pêcheurs locaux devront chercher d'autres options pour mettre de la nourriture sur la table. En 2022, le gouvernement pakistanais a lancé l'initiative « Living Indus » (L'Indus est vivant) pour restaurer l'écosystème du fleuve, afin que le bassin de l'Indus puisse résister aux changements climatiques.

Malgré les restrictions à la liberté de mouvement des femmes et un climat de peur, les travailleuses humanitaires continuent d'apporter un soutien vital aux femmes afghanes. Chaque mois, l' fournit une assistance à 162 000 femmes en Afghanistan.