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VIH/Sida

Un nouveau rapport de l’ONUSIDA montre que la pandémie de sida peut prendre fin d’ici 2030, à condition que les leaders renforcent les ressources et protègent les droits humains dès maintenant.

Un nouveau rapport de l’ONUSIDA montre qu’il est possible de mettre fin au sida d’ici 2030 et décrit la marche à suivre pour y parvenir.

VIH/sida : Connaître son statut sérologique sauve la vie

Au Congo, seules 25 % des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut sérologique. Diverses approches sont utilisées pour amener la population, surtout les jeunes, à se faire dépister. Au même moment, le traitement antirétroviral est disponible pour les personnes vivant avec le VIH.

L' est une nouvelle étape pour garantir que tous les enfants séropositifs aient accès à un traitement salvateur et que les mères vivant avec le VIH aient des bébés exempts du VIH.

Un grand nombre de femmes et de filles au Myanmar vivent avec le VIH. ’ les aide à combattre la discrimination dont elles sont souvent victimes.

Le nouveau rapport de l’, , montre que des actions urgentes sont nécessaires pour lutter contre les inégalités et permettre à la riposte mondiale au sida de respecter ses objectifs.

À la veille du Sommet mondial de la santé, l’ exhorte les pays à mettre fin aux inégalités à l’origine de la pandémie de VIH et d’autres menaces pour la santé. 

Selon le , seule la moitié (52 %) des enfants vivant avec le VIH bénéficient du traitement salvateur disponible, loin derrière les adultes, qui sont 76 % à recevoir des antirétroviraux. Inquiets de voir les progrès marquer le pas pour les enfants, l’ONUSIDA, l’UNICEF, l’OMS et leurs partenaires ont mis en place une alliance mondiale en vue de faire en sorte que, d’ici à la fin de la décennie, plus aucun enfant vivant avec le VIH ne se voie refuser un traitement et afin d’empêcher que de nouveaux nourrissons ne soient infectés par le VIH.

’ révèle que la plupart des 150 000 nouvelles infections aux VIH chez les enfants en 2020 auraient pu être évitées par une meilleure prise en charge des femmes et des filles exposées à un risque élevé d’infection au VIH. Près de 65 000 infections infantiles se sont produites en 2020 parce que des femmes déjà séropositives n’ont pas été diagnostiquées pendant la grossesse et n’ont pas commencé de traitement.

 

La persistance de la pandémie de COVID-19 aggrave les inégalités qui marquent depuis longtemps l’épidémie de VIH, alerte l’UNICEF.

Quatre décennies après l'apparition des premiers cas de sida, les montrent que des dizaines de pays ont atteint ou dépassé les objectifs 2020 fixés par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2016, ce qui prouve que les objectifs n’étaient pas seulement ambitieux, mais réalisables. Globalement, le rapport montre que le déploiement d’un traitement abordable et de qualité a permis d’éviter 16,2 millions de décès depuis 2001. Une sur le VIH/sida se tiendra également du 8 au 10 juin 2021 pour passer en revue les progrès accomplis. ’Assemblée générale espère adopter une nouvelle déclaration politique qui servira de ligne directrice aux étapes ultérieures de la riposte.