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Ressources naturelles et environnement

Le keule, un arbre préhistorique à feuillage persistant endémique du Chili, est aujourd’hui gravement menacé d’extinction en raison des activités humaines telles que l’exploitation forestière sans discernement et les feux de forêt d’origine anthropique.  María Cristina Ortega a commencé ses travaux de protection de ces arbres dans le cadre d’une initiative de conservation des espèces menacées d’extinction financée par le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) et mise en œuvre par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).

 

Le Programme des Nations Unies pour l'environnement explique pourquoi il est si important de disposer de données précises pour prendre des mesures judicieuses face aux feux de forêt.

Conçu par Google et l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), il permet de consulter des statistiques sur les grandes tendances liées au climat et à l'environnement. 

 

L'Inde se prépare à une nouvelle augmentation de la pollution atmosphérique. À l'automne, les agriculteurs du nord du pays brûleront leurs champs pour faire place à de nouvelles cultures. Pendant les incendies, la pollution atmosphérique à Delhi peut être 14 fois plus importante que ce que recommande l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), une grande partie du pays étant recouverte d'un brouillard si épais qu'il est possible de le voir depuis l'espace. Le cas de l'Inde est frappant, mais il n'est pas unique. Or, des alternatives sans brûlis existent et permettent presque toujours aux agriculteurs d'économiser de l'argent. 

 

 

Les mangroves occupent plus de 5 % de la superficie de Cuba, et se retrouvent sur 70 % de ses côtes.

La COVID-19 est une zoonose, c'est-à-dire qu'elle passe des animaux aux êtres humains, et est donc étroitement liée aux terres sur lesquelles ils vivent. L'activité humaine et économique érode les espaces sauvages, les forêts et d'autres écosystèmes importants, nous rapprochant des «&Բ;hôtes réservoirs » : des animaux et des plantes qui peuvent abriter des maladies. Frank Turyatunga, directeur adjoint du bureau régional du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) pour l'Afrique, fait part de ses réflexions sur la manière de mieux protéger les paysages du continent.

Des réfugiés et leurs hôtes s’affairent ensemble à planter un million d’arbres, dans le cadre d’une vaste campagne de reboisement dans l’État du Nil blanc, au Soudan. Le projet a débuté en 2017 et il est situé dans une zone semi-aride, qui a été déboisée en grande partie pour le bois de chauffage et les matériaux de construction, explique l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). 

Closeup of a Panda

Depuis sa première édition en 1974, la  est devenue une plate-forme mondiale de sensibilisation du public et elle est largement célébrée dans le monde entier. Cette année, elle est placée sous le thème de la biodiversité. Il s'agit d'un appel à l’action pour lutter contre la perte accélérée d’espèces et la dégradation du monde naturel.  La période que nous vivons est exceptionnelle. Il est temps de se réveiller. Les aliments que nous consommons, l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, bon nombre médicaments qui sauvent des vies et le climat qui rend notre planète habitable proviennent tous de la nature. En cette Journée mondiale de l’environnement, c’est le temps de la nature.

«&Բ;Si vous prenez soin de la terre, elle prendra soin de vous », explique Tsefaye Kidane, 40 ans. Il cultive du café dans la réserve de biosphère de Kafa, une zone protégée du sud-ouest de l'Éthiopie, qui est également considérée comme le berceau de l'arabica sauvage. Pourtant, lorsqu'il a repris l’exploitation de son père, la qualité du sol était mauvaise et les récoltes de plus en plus irrégulières. Aujourd’hui, c'est un agriculteur heureux car il est parvenu à inverser la situation avec le soutien d’un programme de la Banque mondiale consacré à la gestion durable des terres en Éthiopie. 

Il est urgent d'agir pour sauvegarder la biodiversité des forêts mondiales face aux niveaux élevés de déforestation et de dégradation, souligne la dernière édition du , produit par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). La crise du COVID-19 a mis en lumière l'importance de conserver et d'utiliser de manière durable la nature car la santé des populations est intrinsèquement liée à la santé des écosystèmes.

Au Soudan du Sud, les services sociaux essentiels ont été gravement perturbés par des années de conflits. Environ 4,1 millions d’enfants ont besoin d’une aide humanitaire, dont 1,3 million d’enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition aiguë en 2020, d’après les estimations.

Au cours des 50 dernières années, nous avons perdu plus de 60% des populations animales et, si ne nous ne faisons rien, nous risquons d’en perdre 1 million de plus, comme ce Bécasseau spatule, un petit échassier migrateur et en danger critique d’extinction.

Close-up of a bee

Les abeilles et les autres pollinisateurs, tels que les papillons, les chauves-souris et les colibris, sont de plus en plus menacés par les activités humaines. La pollinisation est cependant un processus fondamental pour la survie des écosystèmes car de lui dépendent la reproduction de près de 90% des plantes sauvages à fleurs du monde, ainsi que 75% des cultures vivirères et 35% des terres agricoles à l’échelle de la planète. Non seulement les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, mais ils constituent aussi des leviers essentiels pour la conservation de la biodiversité. Ce 20 mai, découvrez ce que vous pouvez faire pour protéger les pollinisateurs et pour en savoir plus sur l'apiculture au temps de la COVID-19 !

Close-up of a bee

Les abeilles et les autres pollinisateurs, tels que les papillons, les chauves-souris et les colibris, sont de plus en plus menacés par les activités humaines. La pollinisation est cependant un processus fondamental pour la survie des écosystèmes car de lui dépendent la reproduction de près de 90% des plantes sauvages à fleurs du monde, ainsi que 75% des cultures vivirères et 35% des terres agricoles à l’échelle de la planète. Non seulement les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, mais ils constituent aussi des leviers essentiels pour la conservation de la biodiversité. Ce 20 mai, découvrez ce que vous pouvez faire pour protéger les pollinisateurs et pour en savoir plus sur l'apiculture au temps de la COVID-19 !

Le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) intensifie son travail dans le domaine de la cartographie des menaces zoonotiques et de protection de la nature afin de réduire le risque de futures pandémies.