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ONUSIDA

Reena Mistry est une jeune femme de 23 ans, originaire de Surat (Inde), qui aspire à faire carrière dans la fonction publique. Elle est aussi ceinture orange de karaté, travaille comme bénévole auprès des jeunes et vit avec le VIH. Elle est devenue indépendante sur le plan financier grâce à un projet de développement des compétences et des moyens de subsistance de l’OIT, mis en œuvre par le Réseau des personnes séropositives de l’État du Gujarat (ou GSNP+), avec le soutien d'ONUSIDA.

Un nouveau rapport de l’ONUSIDA montre que la pandémie de sida peut prendre fin d’ici 2030, à condition que les leaders renforcent les ressources et protègent les droits humains dès maintenant.

A l’occasion de la Journée mondiale du sida, l’ONU a appelé cette année à soutenir et miser sur le leadership des communautés touchées par le VIH.

Un nouveau rapport de l’ONUSIDA montre qu’il est possible de mettre fin au sida d’ici 2030 et décrit la marche à suivre pour y parvenir.

Alors que l’humanité se réunit pour célébrer le mois des fiertés, l’ONUSIDA affiche sa solidarité envers les communautés LGBTQI du monde entier et rappelle notre engagement collectif en faveur des droits humains, de l’égalité et de la nécessité urgente de décriminaliser les relations entre personnes du même sexe.

Dans le monde entier, 67 pays criminalisent encore les rapports entre personnes du même sexe et cette pratique est passible de la peine de mort dans 10 États. 20 pays criminalisent la diversité des genres. Ce type de lois nuit à la santé publique générale et coûte des vies. La santé publique et les droits humains sont étroitement liés. Selon l’, dans les pays où les rapports sexuels entre personnes du même sexe sont criminalisés, la prévalence du VIH est cinq fois plus élevée chez les homosexuels. Ce risque est même 12 fois plus élevé lorsque des poursuites judiciaires ont été intentées récemment.

Sauver des vies : Centre de réduction des risques au Sénégal | ONUSIDA

Le CEPIAD est l'un des premiers centres de réduction des risques au Sénégal. Il compte 250 personnes inscrites à son programme de thérapie de substitution aux opiacés. Fondé en 2014, le centre a pris en charge plus d'un millier de personnes.

L' est une nouvelle étape pour garantir que tous les enfants séropositifs aient accès à un traitement salvateur et que les mères vivant avec le VIH aient des bébés exempts du VIH.

La Journée de lutte contre le sida est célébrée chaque année le 1er décembre.

À l’occasion de cette journée, l’ONU invite chacune et chacun d’entre nous à lutter contre les inégalités qui freinent les progrès pour mettre fin au sida.

Le nouveau rapport de l’, , montre que des actions urgentes sont nécessaires pour lutter contre les inégalités et permettre à la riposte mondiale au sida de respecter ses objectifs.

À la veille du Sommet mondial de la santé, l’ exhorte les pays à mettre fin aux inégalités à l’origine de la pandémie de VIH et d’autres menaces pour la santé. 

Selon le , seule la moitié (52 %) des enfants vivant avec le VIH bénéficient du traitement salvateur disponible, loin derrière les adultes, qui sont 76 % à recevoir des antirétroviraux. Inquiets de voir les progrès marquer le pas pour les enfants, l’ONUSIDA, l’UNICEF, l’OMS et leurs partenaires ont mis en place une alliance mondiale en vue de faire en sorte que, d’ici à la fin de la décennie, plus aucun enfant vivant avec le VIH ne se voie refuser un traitement et afin d’empêcher que de nouveaux nourrissons ne soient infectés par le VIH.

Samba Peuzzi a un message pour vous

Avec l'ONUSIDA, le rappeur Samba Peuzzi a un message pour vous : Faites vous dépistez !

Il est prouvé que les lois punitives entravent l’accès aux services anti-VIH et augmentent le risque d’infection au VIH. La décriminalisation est un levier essentiel pour mettre fin au sida d’ici 2030.