2011-UNAT-118, Abu-Hawaila
Unat n'a pas été persuadé que Undt ait commis une erreur dans son jugement. Unat a soutenu qu'au moment de la réception de son offre de règlement, le délai de déposer la demande à UNT avait déjà fonctionné pendant environ trois semaines et rien n'a empêché l'appelant de déposer sa demande ou de demander une dérogation ou une prolongation du délai . L'UNAT a jugé que la suspension exceptionnelle des délais prévus en vertu de l'article 8, paragraphe 1, du statut de l'UND et de la règle du personnel provisoire 11. 1 n'a appliqué qu'à la résolution informelle des différends menée par le Bureau du Médiateur. Unat a jugé que les négociations de règlement entre les parties n'avaient pas pénétré les délais applicables car les négociations n'ont pas été menées par le bureau du Médiateur. Unat a jugé que le pouvoir accordé à UNT par l'article 8, paragraphe 3, de sa loi pour suspendre ou renoncer à tout délai, à l'exception de ceux pour l'évaluation de la direction, doit être exercé avec prudence et en vertu du pouvoir discrétionnaire du juge du procès. Unat a jugé que la décision, en l'espèce, était raisonnable et qu'il n'y avait aucun motif de renversement de la conclusion de l'UNDT qu'il n'y avait pas de circonstances exceptionnelles justifiant une renonciation aux délais dans cette affaire. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Le demandeur a contesté la décision de le séparer du service. Undt a rejeté la demande comme un délai de temps.
Les exceptions aux délais et aux délais doivent être interprétées strictement et ne sont pas soumises à une extension par analogie.