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2023-UNAT-1329, Claude Cahn

Décisions du TANU ou du TCNU

L'UNAT a constaté que l'UNT ne s'est pas trompé en droit ou en fait ou dépassé sa juridiction et a rejeté l'appel du secrétaire général. L'UNAT a constaté que l'administration avait été informée des conditions de travail disharmonies au sein du bureau régional pour l'Europe et n'avait pas pris de mesures en temps opportun. En exposant M. Cahn à des conditions de travail nuisibles pendant une période considérable (plusieurs mois), l'administration a échoué dans son devoir de diligence vis-à-vis de M. Cahn pour mettre en œuvre des mesures préventives ou intérimaires et donc empêcher tout dommage possible de Sa santé, indépendamment de la question de savoir si les actions de son avantage ont atteint le niveau de conduite interdite. En ne prenant pas des mesures plus tôt pour aborder l'aggravation et un environnement de travail disharmonieux à Roe et ainsi exposer M. Cahn à des conditions de travail nuisibles pendant un temps considérable, l'UNAT a conclu que la rémunération devrait être accordé pour soulager le préjudice subi, à condition que certains Les critères en droit ont été remplis et le préjudice a été appuyé par des preuves. L'UNAT était satisfait de l'analyse détaillée de l'ensemble des preuves par le Tribunal des litiges. L'UNAT a constaté que le juge UND ne s'est pas commis dans l'exercice de son pouvoir discrétionnaire correctement dans l'attribution de l'indemnisation des dommages-intérêts non pécuniaires (dommages moraux) équivalents à sept mois de salaire de base net pour le préjudice subi; Dommage directement causé par le fait que l’administration ne prenne pas de mesures de protection à un stade précoce.

Décision Contestée ou Jugement Attaqué

Selon le jugement n ° UNT / 2022/008, l'ANDT a rejeté l'affirmation de M. Cahn selon laquelle l'OHCHR aurait dû prendre des mesures disciplinaires contre le représentant résident (RR) (qui était également son premier officier de déclaration (FRO)) à la suite de l'enquête sur sa plainte contre sa plainte contre sa plainte contre sa plainte contre sa plainte contre sa plainte contre sa plainte contre sa plainte son. L'UNDT a estimé que l'OHCHR avait correctement traité la plainte de M. Cahn contre la RR et que le dossier des cas appuyait pleinement le caractère raisonnable de la décision de ne pas engager de procédures disciplinaires contre la RR. L'UNDT a constaté séparément que l'OHCHR avait un devoir de diligence indépendant et prétendu qui obligeait à prendre des mesures de protection immédiates en recevant la plainte de M. Cahn, que l'OHCHR n'a pris aucune mesure pour le protéger et qu'il avait donc violé cette obligation. Sur cette base, l’UND a attribué à M. Cahn Seven Mois de Net Base Salaire pour préjudice souffrait de l’obligation de l’OHCH à le protéger en temps opportun d’un environnement de travail toxique. Le secrétaire général a fait appel.

Principe(s) Juridique(s)

Il y a un engagement selon lequel toutes les organisations internationales doivent avoir une «tolérance zéro» pour le harcèlement sur le lieu de travail et ne toléreront pas la conduite qui peut être interprétée comme du harcèlement, du harcèlement sexuel ou de l'abus d'autorité. Cela est particulièrement vrai pour les Nations Unies, car un tel comportement ou conduite est contraire à l'esprit de la Charte des Nations Unies, à ses règlements et règles du personnel et aux normes de conduite pour la fonction publique internationale. La politique de «tolérance zéro» vise à fournir un environnement sûr à tous les employés des Nations Unies, sans discrimination pour tous les motifs et du harcèlement au travail, y compris le harcèlement sexuel. En règle générale, cette politique vise à aborder la question du harcèlement sur le lieu de travail principalement au moyen de deux méthodes. Le premier et plus immédiat a le but correctif de lutter contre tout comportement inapproprié possible et d'appliquer les mesures nécessaires en fonction de la situation. Le deuxième et plus large a le but préventif de promouvoir un environnement de travail positif et de prévenir les comportements inappropriés sur le lieu de travail. Il est bien établi dans la jurisprudence du Tribunal d'appel selon lequel, en vertu des dispositions ci-dessus, l'administration de l'organisation a le devoir de diligence pour assurer un environnement de travail harmonieux et protéger les membres du personnel contre les dommages par le biais de, entre autres, de la prévention appropriée et mesures de réparation dans chaque cas spécifique. Cette obligation est une partie inhérente de la relation de travail et une condition fondamentale de service et doit être remplie par l'administration avec diligence raisonnable et sans délai. Le tribunal des litiges a un large pouvoir discrétionnaire en vertu de l'article 18, paragraphe 1, de ses règles de procédure pour déterminer l'admissibilité de toute preuve et le poids à attacher à ces preuves. Les conclusions de fait que l'ANDT ne peuvent être dérangées que par l'article 2, paragraphe 1, e) du statut du Tribunal d'appel lorsqu'il y a une erreur de fait résultant en une décision manifestement déraisonnable. Ce tribunal est conscient que le juge entendant l'affaire a une appréciation de toutes les questions de détermination et des preuves qui l'ont saisie. Il existe, en général, le devoir d'un employeur de protéger la santé, la sécurité et le bien-être de leurs employés et d'autres personnes qui pourraient être affectées par leur entreprise. L'employeur doit faire tout ce qui est raisonnablement possible pour y parvenir en s'assurant que les travailleurs et autres sont protégés de tout ce qui peut nuire, contrôlant efficacement les risques à des blessures ou à la santé qui pourraient survenir sur le lieu de travail. Un droit à des dommages moraux peut survenir lorsqu'il existe des preuves produites au tribunal par le biais d'un rapport médical, psychologique ou autrement de préjudice, de stress ou d'anxiété causé à l'employé, qui peut être directement lié ou raisonnablement attribué à une violation de la violation de Ses droits substantiels ou procéduraux et où le tribunal se convient que le stress, le préjudice ou l'anxiété sont de manière à mériter une sentence compensatoire. La compensation doit être fixée par le UNDT à la suite d'une approche de principe et au cas par cas. Le tribunal d'appel n'interférera pas légèrement, car le tribunal des différends est le mieux placé pour décider du niveau de rémunération étant donné son appréciation de l'affaire.

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Appel rejeté sur le fond
Texte Supplémentaire du ¸éé²õ³Ü±ô³Ù²¹³Ù

L'appel est rejeté par la majorité, le juge Knierim dissident, et le jugement n ° UNT / 2022/008 est confirmé.

Le Bureau de l'Administration de la Justice (BAJ) a préparé ce résumé de la jurisprudence a titre informatif seulement. Il ne s'agit pas d'un document officiel et il ne faut pas s'y fier comme une interprétation faisant autorité des décisions des Tribunaux. Pour les textes faisant autorité des décisions, veuillez-vous référer au jugement ou à l'ordonnance rendue par le Tribunal respectif. Les Tribunaux sont les seuls organes compétents pour interpréter leurs jugements respectifs, conformément à l'article 12(3) du Statut du Tribunal du Contentieux Administratif des Nations Unies (TCANU) et à l'article 11(3) du Statut du Tribunal d'Appel des Nations Unies (TANU). Toute inexactitude dans cette publication relève seulement la responsabilité du BAJ, qui doit être contacté directement pour toute demande de correction. Pour faire part de vos commentaires, n’hésitez pas à communiquer avec BAJ à oaj@un.org

Les résumés des jugements étaient généralement préparés en anglais. Ils ont été traduits en ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ et sont en cours d'examen pour en vérifier l'exactitude.