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Évaluation de la crédibilité

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D'emblée, le Tribunal d'appel a noté que Mme Monasebian n'avait fourni que peu ou pas de raisons à l'appui de sa demande d'anonymisation de l'arrêt, si ce n'est une déclaration générale selon laquelle les informations relatives à son affaire étaient sensibles. Le Tribunal a estimé que l'anonymisation n'était pas justifiée en l'espèce et a rejeté sa demande.


Le Tribunal d'appel a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en concluant qu'il existait une prépondérance de la preuve que Mme Monasebian avait adopté un comportement qui avait créé un environnement de travail intimidant...

Le TANU a estimé que le juge du TNDU n'était pas tenu d'indiquer sa position sur les preuves, d'autant plus que toutes les preuves n'avaient pas encore été présentées. 

Compte tenu de divers éléments, notamment le rapport d'enquête, les échanges de messages WhatsApp et les aveux de l'ancien membre du personnel, le TANU a jugé crédible le récit des événements fait par le plaignant.  Il a conclu que le comportement présumé de l'ancien membre du personnel, qui aurait appelé la plaignante dans sa chambre le 1er août 2020 et lui aurait demandé de venir dans son lit, était établi par des preuves...

Le TANU a observé que deux échanges de courriels entre Mme Nimusiima et un ancien membre du personnel du HCR (AM) étaient la seule preuve documentaire offerte pour établir la culpabilité de Mme Nimusiima dans l'émission d'une lettre de réinstallation frauduleuse en échange d'un pot-de-vin. 

L'UNDT avait conclu que ces échanges de courriels montraient que Mme Nimusiima avait agi de concert avec AM, mais qu'ils étaient néanmoins "équivoques" (peu clairs/vagues), "purement circonstanciels" et ne prouvaient pas avec une forte probabilité qu'AM avait envoyé la lettre de réinstallation frauduleuse...

L’UNAT a estimé que le Tribunal a commis plusieurs erreurs de droit et de fait, conduisant à un résultat manifestement déraisonnable.

En particulier, l’UNAT a estimé que le Tribunal a commis une erreur en refusant de tenir une audition des preuves que M. Nkoyock cherchait à appeler pour établir sa défense face aux allégations portées contre lui et pour mettre en accusation les témoins du Secrétaire général. Le Tribunal a également commis une erreur en ne parvenant pas à tirer ses propres conclusions sur les faits contestés et en s’appuyant de manière excessive sur les conclusions de l’enquête...

L'UNAT a estimé que le Tribunal a commis une erreur de procédure telle qu'elle a affecté l'issue de l'affaire en ne tenant pas d'audience et en s'appuyant de manière significative sur le rapport d'enquête de l'OAIS pour corroborer la véracité des événements allégués par le plaignant, alors qu'il n'y avait pas d'audience. Les témoins directs de la mauvaise conduite alléguée et tous les témoins sur lesquels se sont appuyés les enquêteurs de l'OAIS ont obtenu leurs preuves et informations auprès du plaignant. À ce titre, l'UNAT a conclu que leurs éléments de preuve étaient des preuves par ouï...

L'UNAT a jugé que l'UNT ne s'est pas commis en concluant qu'il y avait des preuves claires et convaincantes que l'appelant avait physiquement agressé un autre membre du personnel et que la mesure disciplinaire de la séparation du service, avec une indemnité au lieu d'un avis et sans indemnité de résiliation, était proportionnée à La nature et la gravité de l'inconduite de l'appelant. Surtout, l'appelant n'a pas établi un degré de provocation qui a atténué ses représailles qui étaient également excessives et au-delà des limites de toute défense autorisée dans l'altercation. Les conclusions de l...

2022-UNAT-1264, AAC

La question essentielle de la détermination en appel est de savoir si l'ANDT a correctement jugé que l'inconduite présumée de créer un environnement de travail hostile et de donner des cadeaux était prouvée conformément à la norme de preuves claires et convaincantes. En d'autres termes, les preuves ont-elles établi l'inconduite présumée à un degré élevé de probabilité? À son essence, cette affaire implique donc des différends de fait fortement contestés quant à savoir si l'AAC s'est conduit d'une manière abusive et a créé un environnement de travail hostile. L'administration dit qu'il l'a fait...

Unat a jugé que les plaintes contre l'appelant étaient très graves et intolérables pour tout employeur. Unat a jugé que UNDT avait conclu correctement que l'affaire contre l'appelant était justifiée et corroborée et que les preuves ont suffisamment étayé l'accusation de sollicitation et de réception de l'argent de la population locale en échange de leur recrutement et de leur service en tant que personnel de l'ONU. Unat a jugé que lors de la téléconférence, l'appelant avait produit deux imposteurs comme témoins, qui ont déclaré avoir menti aux enquêteurs et fait de fausses allégations contre l...

UNDT/2017/071, He

La décision de ne pas renouveler une nomination à durée déterminée est souvent étroitement liée à la discrétion plus large de l'organisation sur la façon d'organiser ses services. À cet égard, le tribunal note qu'en période de ressources effrayantes, les gestionnaires ont des responsabilités particulières pour prendre des décisions de gestion solides, ce qui implique de faire une évaluation des services nécessaires à un moment donné dans un service donné et d'éviter les dépenses inutiles de l'argent public avec lequel ils sont effectivement confiés. Toute évaluation post-facto de ces questions...

UNT a accepté les témoins du requérant comme preuve comme pertinents et admissibles. Les témoins s'adressaient généralement à la theatmosphère dans laquelle la force de sécurité intérimaire des Nations Unies pour le personnel d'Abyei (UNISH) a fonctionné à Abyei, y compris la réaction des principaux chefs de la tribu Dinka aux changements politiques qu'ils n'aimaient pas. Cela a soulevé des questions à considérer pour évaluer les plaintes des plaignants 1 et 2. Les plaignants 1 et 2 n'ont pas signé ni indiqué la véracité de leurs déclarations. Cet incapacité à authentifier les déclarations a...