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Production de documents

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2024-UNAT-1463, AAW

Le TANU a noté que le DT de l'UNRWA avait ordonné à chaque partie de désigner un psychiatre, qui à son tour devait désigner un troisième psychiatre pour examiner si l'état mental de l'agent au moment où il a commis le cambriolage, dont la condamnation avait été le motif de sa séparation dans l'intérêt de l'Agence.  Le Commissaire général n'a pas respecté cette instruction, sans explication, laissant ainsi le DT de l'UNRWA sans information médicale sur l'état de AAW au moment du cambriolage.
Le TANU a estimé que le Commissaire général avait clairement et manifestement abusé de la procédure par...

Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur de procédure affectant l'issue de l'affaire en rejetant partiellement les requêtes de l'ancien fonctionnaire visant à obtenir des preuves supplémentaires ou en ne lui accordant pas un délai supplémentaire suffisant pour répondre aux observations du Secrétaire général.
Le TANU a également conclu que l'UNDT avait correctement identifié la décision contestée comme étant la décision du 1er avril 2022 le déclarant inéligible à participer à l'ASHI.  Le TANU a observé que l'ancien fonctionnaire avait lui-même identifié cette décision à la...

L’UNAT a estimé que le Tribunal a commis plusieurs erreurs de droit et de fait, conduisant à un résultat manifestement déraisonnable.

En particulier, l’UNAT a estimé que le Tribunal a commis une erreur en refusant de tenir une audition des preuves que M. Nkoyock cherchait à appeler pour établir sa défense face aux allégations portées contre lui et pour mettre en accusation les témoins du Secrétaire général. Le Tribunal a également commis une erreur en ne parvenant pas à tirer ses propres conclusions sur les faits contestés et en s’appuyant de manière excessive sur les conclusions de l’enquête...

M. Moulana a fait appel du jugement du Tribunal.

L'UNAT a noté que le Tribunal a rejeté la demande de M. Moulana au motif de preuves insuffisantes, alors qu'il n'avait pas eu la possibilité de fournir des preuves. L'UNAT a estimé que le Tribunal du contentieux des Nations Unies, en ne donnant pas suite aux demandes de production de documents de l'appelant, notamment en ignorant sa requête, avait violé le droit de l'appelant à une procédure régulière et l'avait privé de la possibilité de faire évaluer sa requête et éventuellement d'obtenir gain de cause, après quoi il aurait pu a présenté les...

M. Jibril a fait appel.

En ce qui concerne la demande d'audience, l'UNAT a estimé que les questions factuelles et juridiques soulevées par cet appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'était pas nécessaire de fournir des éclaircissements supplémentaires. De plus, une audience ne contribuerait pas à régler l’affaire de manière rapide et équitable, comme l’exige l’article 18(1) du Règlement intérieur du TANU. En conséquence, la demande d'audience est rejetée.

L'UNAT a convenu avec le DT de l'UNRWA que la décision administrative contestée de placer M. Jibril en congé...

UNAT a rejeté l'appel interlocutoire du Secrétaire général contre l'ordonnance de l'UND comme non à recevoir, concluant que l'UNT avait une autorité discrétionnaire dans la gestion des cas et la production de preuves dans l'intérêt de la justice. Unat a jugé que UNDT avait décidé d'une mesure d'enquête, dont il avait la seule autorité d'évaluation. Unat a soutenu qu'il n'était pas dans l'intérêt du système interne de justice d'envisager un appel contre une simple mesure d'enquête.

Unat a jugé que le juge UNDT disposait de motifs suffisants pour ordonner la production des documents retenus par l'administration concernant le processus de sélection qui a conduit à la décision administrative contestée. Unat a déclaré le principe selon lequel UNT a le droit d'ordonner la production de tout document pertinent aux fins de l'élimination équitable et rapide de sa procédure. Si l'administration s'oppose à l'ordre de UNDT pour produire un certain document en sa possession, il peut, avec des raisons suffisamment spécifiques et justifiées, demander à UNT de vérifier la...

2015-UNAT-580, Kalil

Unat a considéré un appel contre l'ordonnance n ° 057 (UNRWA / DT / 2014) et le jugement n ° UNRWA / DT / 2014/027. Unat a rejeté la demande de confidentialité de l’appelant et pour la rédaction de son nom du jugement de l’UNRWA DT et a confirmé le raisonnement de l’UNRWA DT. Unat a nié la demande de l'appelant de soumettre de nouvelles preuves à Unat au motif que l'appelant n'a expliqué pourquoi il a été empêché de les déposer précédemment, des circonstances exceptionnelles n'existaient pas et son contenu n'aurait pas affecté la décision de la décision de la décision de Cas. Unat a soutenu qu...

Unat a rejeté la demande d'audience orale, constatant que cela ne contribuerait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire. UNAT a rejeté la requête demandant l'autorisation de déposer des plaidoiries / preuves supplémentaires, selon laquelle il n'y avait aucune situation exceptionnelle qui justifierait l'octroi de la requête. Unat a jugé que l'appel sur la suspension sans salaire n'était pas à recevoir puisque l'appelant n'avait pas observé les délais. En ce qui concerne la recevabilité de la lettre demandant le réexamen du licenciement sommaire, Unat a jugé qu'il n'admettrait pas...

UNAT a considéré l'appel, en particulier de savoir si Unrwa dt a commis une erreur en rejetant les requêtes des membres du personnel pour apporter des preuves supplémentaires sur le motif de la créance, et si Unrwa dt a commis une erreur en concluant que la décision contestée finale avait été prise le 3 août 2014. Unat a constaté qu'Abu Malluh et al. a agi avec diligence raisonnable dans la procédure avant Unrwa dt et a en outre démontré que les preuves supplémentaires qu'ils cherchaient à avoir admis auraient conduit à différentes conclusions de fait et modifié l'issue de l'affaire. Unat a...